dimanche 13 janvier 2008

MécaTurel


en pleine tempête, les efforts du capitaine sont inutiles : l'océan et sa force surhumaine ne font aucune concession. A 20 000 lieues de là, les oiseaux se doivent de faire renaître la forêt après ce terrible orage. Ils sifflent à l'unisson le deuil du pauvre marin. Cependant, la locomotive de la vie redémarre, et, à la vitesse du son, s'écoulent les saisons pour en finir là où le temps n'a pas le droit de prendre du retard..




Aucun commentaire: